Comment construire l'avenir sans prendre en compte le passé et en fermant les yeux sur le présent ? Pourtant c'est bien cela la démarche de Madame BRUNEL et de son équipe. Pour le centre bourg, c'est leur façon d'agir, ils font « cavalier seul », ils sont certains de posséder la « science infuse » en matière de développement urbain Notre histoire locale Pour faire suite à notre précédent article concernant le centre bourg, la majorité actuelle malgré plusieurs demandes et les dires d'un adjoint important, Mr Di Fruscia, n’a toujours pas organisé de réunion publique pour informer les habitants du projet en cours depuis 2014 de revitalisation pour le centre-ville. Dans la page de l’opposition du prochain bulletin municipal nous revenons sur le devenir du site de l’ancien Intermarché (article rendu le 5 Mai). L’équipe majoritaire avec son refus du projet de regroupement de plusieurs commerces du village dans ce lieu pourtant idéal avec son grand parking impose plutôt la construction d’un immeuble de standing. Dans le début des années 1980, plus de 48 commerces et services animaient le centre et notre commune comptait environ 2500 habitants. Rue Léon Portier : Docteur, dentiste, atelier ferronnerie, carrosserie, bar -hôtel, bar restaurant, coiffeur, articles ménagers, alimentations, tabac, bar. Place Michalon : Bascule, hôtel du nord, douches municipales, pompiers, poste, droguerie, alimentations, articles funéraires meubles, banque. Rue François Parot : Chaussures, vêtements et laines, garage Renault, boulangerie, vêtements, pharmacie, carrosserie, coiffeur, station essence, garage Citroën, bijouterie. Rue Emile Reymond : Bar, boulanger pâtissier, dentiste, épicerie, serrurerie, pâtisserie, fleurs, auberge du pic, boucherie, graines, esthéticienne, bazar, cycles, kinésithérapeute, auto- école. Rue du 11 Novembre : Menuiserie, garage Poids lourds. Et nous n’oublions pas les cités avec : Café, boulangerie, boucherie, alimentation, café épicerie tabac, buvette épicerie. Dans notre prochain article nous retournerons dans les années 2010 pour suivre l’évolution de nos commerces. Ps : nous ne sommes pas des historiens et nous avons peut-être fait quelques erreurs. |